La Croix-Rousse et la bannière

Posté par le 15 avril 2011, 0 Commentaires

Bon assez rigolé. La Sarra, ça descend bien (on vous a dit que c’était une piste de ski ?), mais il est temps de changer de colline. On passe de Fourvière à Croix-Rousse. Enfin, quand on dit « colline », en plein course, à ce stade, elles nous paraissent plutôt des montagnes.
Pour changer de colline, nous traversons la Saône. Première surprise, la passerelle bouge. Beaucoup. Les coureurs martèlent le pont suspendu de leur pas cadencé, et nous voilà en train de tanguer de gauche à droite. (Gloups).

Deuxième surprise, l’escalier qui est juste après est vraiment traitre : petites marches pour commencer, puis montée bien raide pour finir. Seulement 300 marches pourtant. Mais c’est le dernier – ou presque. Troisième surprise, les organisateurs ont prévu un petit ravitaillement juste après. Psychologiquement, il faut tenir bon, les grosses étapes sont derrière nous. Il ne reste que des « petits morceaux ». Mais les jambes sont fatiguées, et ce qui reste prend une toute autre ampleur.

Et enfin, la Montée de la Grande Côte, la dernière, celle où on avait prévu de tout donner. Sauf que vues nos têtes sur les photos, ça semble pas être possible.

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La descente de Croix-Rousse vers l’arrivée est plus sympa, mais on n’en voit pas le bout. Le parcours prend un malin plaisir à nous faire prendre tous les détours possibles et imaginables avant d’arriver.

– C’est encore loin l’arrivée ?
– Compte jusqu’à 60

(photos Julien Elias & André Roche)

Catégorie : La course, Non classé

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